Pour le diagnostic, l'audit, la vérification et le contrôle de vos racks de stockage à palettes et autres rayonnages métalliques à Grenoble, Voiron, St Martin d'Hères, Saint Quentin Fallavier, Satolas et Bonce et dans tout le département de l'Isère en Rhône Alpes, faites appel à CRM.
CRM est à votre service pour :
- la vérification périodique annuelle ainsi que pour le contrôle de conformité de vos installations neuves et/ou modifiées (avant PV de réception de travaux),
- les essais en charge et la fourniture/pose des plaques de charge correspondantes.
- la formation de votre personnel à la vérification périodique en interne (qui ne se substitue en aucun cas au contrôle réglementaire annuel par une société extérieure)
Indépendante et spécialisée en rayonnages métalliques, CRM vous propose toute une palette de solutions de contrôle adaptées à vos besoins et qui répondent aux différentes normes de sécurité et à la législation en vigueur.(INRS ED 771, AFNOR EN 15635, SP1120 CARSAT, Code du Travail).
INDEPENDANTE : CRM ne travaille pas pour un fabriquant ou un prestataire de maintenance quelconque. Nous ne sommes pas « juge et partie » : nos contrôles sont objectifs et impartiaux. Suite au contrôle, vous restez responsable et libre de faire les travaux qui s’imposent par le prestataire de votre choix.
SPECIALISEE : A la différence des bureaux de contrôle généralistes, CRM est spécialisée en rayonnages métalliques. Au-delà du cadre purement technique du contrôle basé sur les normes, CRM met un point d’honneur à se rendre accessible aux opérationnels : nos rapports sont précis et priorisés par niveau d’urgence et tous nos contrôles sont débriefés sur le terrain avec photos à l’appui.
CRM vous fournit également un suivi statistique afin de mesurer l’efficacité des actions de maintenance dans le temps.
Initialement sollicitée par la CARSAT, CRM est aujourd'hui recommandée par l'organisme dans le cadre de la prévention des risques et accidents en entreprises.
Force est de constater que bon nombre d'accidents impliquant des salariés, plus ou moins graves, auraient pu être évités si les installations de stockage avaient fait l'objet d'un contrôle régulier, suivi d'un plan de maintenance adéquat.
En ce qui concerne les risques juridiques pour l'entreprise, celle-ci est tenue à une obligation de résultat, encadrée par l'article L.4121.1 du Code du Travail (obligation légale de prévention) et à "éviter les risques et les combattre à la source". Les conséquences pour l'employeur relèvent alors du pénal et du civil ("faute inexcusable").
Outre la réglementation en matière de contrôle des racks de stockage, le contrôle et la vérification périodique de vos installations de stockage s'avère rentable, dans la mesure où un audit annuel, à minima, vous permet de connaître parfaitement l'état de vos installations et d'en suivre l'évolution dans le temps.
Ce suivi régulier vous permet d'être réactif pour parer aux urgences et de planifier et prioriser, dans votre approche budgétaire et humaine, les actions de maintenance nécessaires.
Un étalement des coûts liés au remplacement du matériel dans votre budget annuel sera toujours préférable à une importante sortie d'argent pas forcément prévue mais nécessaire, et bien souvent rapide.
Par ses rapports détaillés, qui localisent les anomalies à l'adresse exacte, et qui priorisent par degré d'urgence* les actions à entreprendre (et donc les coûts à prévoir), vous restez maître du pilotage de votre budget et vous vous assurez de mettre en place un plan d'actions efficace.
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Urgence 1 : action urgente à mener car risque/danger imminent. Bien souvent, l'urgence 1 nécessite un déchargement partiel ou total des cellules (ou travées) de racks.
Urgence 2 : souligne un matériel à remplacer dès que possible. Il ne nécessite pas forcément une action prioritaire mais doit faire l'objet d'une maintenance à court terme.
Urgence 3 : matériel "hors normes" mais qui est plutôt à surveiller dans le temps, en tout cas qui ne présente pas de risque à court terme.
Art 9.4.2.3: "Une personne compétente d’un point de vue technique doit effectuer des contrôles à des intervalles de 12 mois maximum. Un rapport écrit, comportant des observations et des propositions d’actions nécessaires, doit être remis au responsable de la sécurité des systèmes de stockage."
Art 4.2.9: "Les opérations de maintenance de l’installation sont de la responsabilité de l’utilisateur. Celui-ci doit faire procéder :
[…]
-au moins une fois par an, à une vérification périodique approfondie par une personne compétente employée par l’utilisateur ou le constructeur ou une entreprise spécialisée ou un organisme compétent.
Nota: la compétence implique notamment outre la qualification, l’expérience du métier de vérificateur, en particulier une pratique habituelle de celui-ci."
Articles R. 233-1 à R233-8-1 du Code du Travail :
« Règles générales d’utilisation d’équipements de travail et moyens de protection y compris les équipements de protection individuelle. »
- Code du Travail R.233-1 :
"Le chef d'entreprise est tenu de maintenir toute installation en état de conformité avec les règles techniques de conception et de construction applicables lors de sa mise en service. Il lui appartient de faire procéder aux travaux de remise en état signalés soit dans le cadre de la surveillance permanente, soit par le rapport de vérification d'une personne compétente exerçant régulièrement son activité."
-Code du Travail L.233-5-1 :
"Les équipements de travail doivent être équipés, installés, utilisés, réglés et maintenus de manière à préserver la sécurité et la santé des travailleurs y compris en cas de modification de ces équipements de travail."
-Code du Travail L.230-2 :
"Le chef d'entreprise a une obligation générale de sécurité et de résultats.
Le chef d'entreprise :
-est responsable de la santé et de la sécurité de ses salariés.
-doit définir une politique de prévention des risques au sein de son entreprise.
-doit s'investir pleinement dans des actions concrètes de prévention."
- Code du Travail L.4121.1 :
« L'employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs, afin d’éviter les risques et les combattre à leur source.
Ces mesures comprennent :
1° Des actions de prévention des risques professionnels ;
2° Des actions d'information et de formation ;
3° La mise en place d'une organisation et de moyens adaptés.
L'employeur veille à l'adaptation de ces mesures pour tenir compte du changement des circonstances et tendre à l'amélioration des situations existantes.
Toutefois, en l’absence de dispositions réglementaires et de normes spécifiques, les règles de calcul établies par le Syndicat des industries de matériels de manutention (SIMMA) ou la Fédération européenne de la manutention (FEM) permettent de satisfaire aux exigences de sécurité de conception et de construction."
Comment rendre la prévention rentable ?
Il y a souvent un frein économique à la prévention : "oui mais la prévention ça coûte !...".
Sauf que prévenir c'est engager un coût certain pour éviter un coût important et incertain (accidents du Travail, pertes d'exploitation, dégradation de l'image et de la productivité de l'entreprise etc...).
La prévention peut bel et bien constituer un levier de performance pour l'entreprise.
Pour établir la rentabilité de la prévention, il faut mettre en rapport son coût et le bénéfice économique (coût direct et indirect d'un accident de travail). Dans la grande majorité des cas :
investissement prévention / coûts d'un accident de travail = bénéfice.
Selon une source INRS, le ratio de gain économique de la prévention est de 1€ investi dans la prévention rapporte 2,20€ à l'entreprise : sentiment de sécurité des salariés -> amélioration des conditions et de l'ergonomie au travail -> baisse de l'absentéisme -> productivité accrue -> baisse du coût des AT -> amélioration du climat social.